Catalogue - page 1

Affiche du document Je suis puni ?

Je suis puni ?

De Anita Spagnoli

1h00min00

  • Ateliers de création numérique
Les établissements scolaires sont en première ligne face aux montées de la violence qui caractérise nos sociétés. On ne compte plus, en effet, les reportages ou témoignages nous expliquant combien l'indiscipline devient caractérisée et endémique dans les classes. Quand bien même… Certains enseignants cherchent sans cesse de nouvelles manières de répondre aux problématiques de l'école d'aujourd'hui. Leur préoccupation n'est pas de savoir s'ils doivent sanctionner ou non, mais plutôt de comprendre quelles sont les conditions requises pour que la sanction, dans le processus éducatif, participe à la responsabilisation des élèves. La discipline scolaire se définit à partir de règles élaborées pour l'école ou pour la classe dans le règlement intérieur, mais aussi parfois sous forme de règles de vies propre à la classe. Au fil d'un retour historique et du témoignage d'anciens élèves et enseignants, d'enfants et d'un parent d'élève, nous suivons ainsi le travail de vie quotidienne effectué dans deux écoles se trouvant en zone réputée "difficile", à Vaulx-en-Velin. Le film est encadré par une émission présentée par Philippe Meirieu, consacrée à la thématique : Sanctions et discipline à l'école primaire. Maintenir l'ordre dans la classe est souvent difficile pour les enseignants. La question de la discipline et des sanctions est une vieille question qui se pose à nouveau... Une certaine idée de l'autorité du maître autrefois incontestée et aujourd'hui remise en cause... Dès lors, comment sanctionner l'indiscipline des élèves sans les exclure de la vie de la classe ? Quelles sont les conditions pour qu'une sanction soit éducative ? Quelle relation entre la question de la discipline et celle de l'enseignement ? Faut-il séparer socialisation et instruction ? Pour débattre autour de ces questions, Philippe Meirieu accueille Eirick Prairat, professeur en Sciences de l'Éducation à l'Université Nancy 2 et spécialiste de la question des sanctions, Gérard Guillot, philosophe et formateur d'enseignants, Catherine Hurtig-Delattre, professeur des écoles et coordinatrice d'un réseau de réussite scolaire, et Marie Lacroix, magistrat chargée des affaires familiales, en tant qu'invitée venue d'ailleurs. Un programme édité par CAP CANAL.
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Affiche du document On n'est pas des surdoués !

On n'est pas des surdoués !

Aude Spilmont

1h00min01

  • Ateliers de création numérique
Il est difficile de définir avec précision cet ensemble d'enfants et d'adolescents que certains qualifient de "surdoués" ou de "précoces". Il s'agit d'une notion tout à fait relative puisqu'elle dépend des domaines pris en compte (un enfant n'est pas "précoce" de manière uniforme dans tous les champs d'activité), des critères et des "outils" utilisés pour évaluer le degré de précocité, et surtout du seuil que l'on fixera pour définir la population "précoce". Selon certains spécialistes, environ 400 000 enfants en âge d'être scolarisés seraient concernés en France, soit  5 %  des enfants et une moyenne de 1 à 2 élèves par classe. Qui sont-ils, ces enfants ? Comment cette "différence" se traduit-elle dans la vie de famille et dans leur vie personnelle ? Ce documentaire dessine le portrait de deux familles concernées par la précocité et d'un jeune adulte détecté précoce tardivement après une scolarité très chaotique.   Ce programme est encadré par une émission présentée par Aude Spilmont, sur le thème : La précocité, atout ou handicap ?   On dit qu'ils sont "en avance", à "haut potentiel", ou plus communément "surdoués" et "précoces". La multiplication des termes, tous insatisfaisants, témoigne des difficultés de description et d'identification qui existent dans un domaine qui peut prêter à caution. Ces enfants ont un rythme de développement intellectuel supérieur à leurs camarades du même âge.   L'outil de référence, mais souvent controversé, pour mesurer la précocité est le quotient intellectuel. Comment détecte-on ces enfants et que mesurent ces fameux tests d'intelligence ? Le concept même de "précocité" n'est-il pas sujet à caution ? Comment la vie de famille s'organise-t-elle autour de ces enfants particuliers ? Comment les professionnels doivent-ils les accompagner ? Pour débattre autour de ces questions et accompagner le documentaire, Aude Spilmont reçoit Olivier Revol, pédopsychiatre et directeur d'un centre de référence pour les troubles de l'apprentissage à l'hôpital neurologique de Lyon, Laurence Vet, principale du collège Joliot Curie à Bron et Cécile Pajan, mère de deux enfants précoces, un garçon de 15 ans et une fille de 11 ans, témoigneront de leur quotidien et dialogueront avec notre invité.   Un programme édité par CAP CANAL      
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Affiche du document Itinéraires d'un enfant unique

Itinéraires d'un enfant unique

De Catherine Lamanche

1h00min01

  • Ateliers de création numérique
On le considère souvent comme "trop gâté", "surprotégé", bon élève ou encore difficilement sociable. Il est unique, il est le seul. Il est seul. Les enfants uniques bousculent l'idée mythique de la mère nourricière et de la famille, sorte de cocon sacré où chacun trouverait sa place dans une relation "idyllique" avec les autres et ferait l'apprentissage d'une vie sociale avec juste ce qu'il faut d'agressivité et d'esprit de compétition, dans le respect de l'autre. Un enfant unique devient-il nécessairement égoïste, solitaire ou triste ? A l'inverse, se sent-il davantage sûr de lui ou mieux aimé ? Quelles raisons poussent les parents à ne vouloir qu'un seul enfant ? Les témoignages croisés des enfants et parents abordent successivement les thèmes de la décision d'avoir ou non un enfant unique, la question de la vie sociale et la question des préjugés face à leurs situations. Ce programme est encadré par une émission présentée par Aude Spilmont, consacrée au thème : Etre enfant unique. Contrôle des naissances, divorces et séparations, évolution des modèles familiaux... Aujourd'hui, en France, 10 % des enfants sont des enfants uniques. De plus en plus souvent, il s'agit d'un choix des parents, plutôt que d'une fatalité. Ce n'est pas une décision toujours facile à assumer, au vu des nombreux préjugés qui entourent encore l'enfant unique. Pourquoi certaines familles choisissent-elles de ne faire qu'un seul enfant ? S'agit-il le plus souvent d'un choix ? Y a-t-il un profil particulier d'enfant unique ? A quoi doit-on veiller particulièrement lorsqu'on est parent d'enfant unique ? Pour débattre autour de ces questions et accompagner le documentaire, Aude Spilmont reçoit Danièle Laufer, journaliste et auteur spécialisée sur les questions de familles et de psychologies, Annick Philip, directrice de halte-garderie et Nastassia Cougoulat, enfant unique âgée de 19 ans témoigneront de leur quotidien et dialogueront avec notre invitée. Un programme édité par CAP CANAL
1 crédit
Affiche du document Aïe ! Mets-toi à ma place !

Aïe ! Mets-toi à ma place ! Cap infos primaire : Violence, en maternelle aussi ?

De Philippe Meirieu

1h00min01

  • Ateliers de création numérique
Selon Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste, le flot d'images violentes diffusées à la télévision ne donne pas suffisamment d'espace aux tout-petits pour prendre du recul par rapport à ce qu'ils voient. Alors que dans une situation de violence scolaire, le jeune enfant peut s'identifier et se comporter soit en tant qu'agresseur, victime ou redresseur de torts, les images de télévision ne lui permettent pas de comprendre cette distinction. Leurs profils sont ainsi marqués de plus en plus tôt sans qu'ils aient forcément pu décoder l'ensemble de ces rôles. Serge Tisseron a ainsi effectué un travail de recherche proposant aux enfants de 3 à 5 ans d'occuper toutes les places d'un scénario violent. Ce documentaire s'appuie sur cette étude menée depuis plusieurs années. C'est dans l'école maternelle des Tables Claudiennes (Lyon 1er), que le réalisateur du film a choisi de reproduire cette expérience. Serge Tisseron rencontre les institutrices de l'école et travaille avec elles pour qu'elles s'approprient les résultats de la recherche, testent les activités entre elles, et les mettent enfin en oeuvre avec leurs élèves.   Ce film est encadré par une émission présentée par Philippe Meirieu, sur le thème : Violence : en maternelle aussi ? Contrairement à ce que l’on peut penser, les comportements violents ne sont pas réservés aux lycéens et collégiens. Ils existent aussi chez les tous jeunes enfants, à un âge où se tissent les premiers rapports entre pairs, et en collectivité. L'école maternelle est ainsi un des premiers lieux d'apprentissage de cette vie en citoyenneté Qu'est-ce qu'enfant de maternelle ? En quoi est-il nécessaire, dès cet âge-là, de se préoccuper des questions liées à la violence et aux comportements agressifs ? Comment le dispositif des jeux de rôles permet-il d'aborder ces questions ?.   Pour débattre autour de ces questions, Philippe Meirieu accueille : Serge Tisseron, psychiatre, psychanalyste et directeur de recherche à l'Université Paris X Nanterre, Sylvie Cébe, professeur de sciences de l'éducation à l'Université de Genève, Dominique Ginet, psychologue/clinicien, enseignant chercheur à l'Université Lyon II, et Philippe Clément, comédien et metteur en scène, directeur du théâtre de l'Iris, en tant qu'invité venu d'ailleurs.
1 crédit
Affiche du document Eduquer à l'image, Fiction ou réalité?

Eduquer à l'image, Fiction ou réalité?

De Alain Brochot

1h00min00

  • Ateliers de création numérique
De nombreux parents et pédagogues s'inquiètent de la place de plus en plus grande prise par les images dans notre société. Ils craignent que les enfants perdent le contact avec la réalité face à la diffusion massive de ces images de la part des médias. Face à cette invasion médiatique, "l'éducation à l'image" est peut-être une des solutions. Comprendre, analyser ou fabriquer des images afin que nos enfants développent leur sens critique, ne pas les laisser ingurgiter "bêtement " ce qu'on leur donne à voir mais au contraire, les inciter à se forger leurs propres opinions, leur donner des "outils" afin qu'ils puissent s'interroger et devenir ainsi plus responsables.   Comment éduquer nos enfants à l'image ? Comment travailler en classe autour de cette notion ? Ce documentaire est un exercice de style, un faux "journal télévisé", une mise en scène qui nous aide à comprendre à quel point l'image peut être manipulée. Nous découvrons dans ce faux journal un faux présentateur qui lance des séquences de faux reportages nous faisant découvrir des initiatives pédagogiques autour de l'éducation à l'image.   Ce film est encadré par une émission présentée par Philippe Meirieu, consacrée à la thématique : L'image et l'école.   Télévision, photo, vidéo, internet, cinéma, magazine, publicité, aujourd'hui plus que jamais les images sont omniprésentes et ont envahi le quotidien des familles et des élèves. Quel rôle l'école peut-elle jouer pour aider les enfants à appréhender ce flot d'informations ? Que disent les programmes à ce sujet ? Comment travailler en classe pour permettre aux enfants de comprendre le statut des images ? Pour débattre autour de ces questions, Philippe Meirieu accueille Elisabeth Baton-Hervé, chargée des médias à l'UNAF (Union Nationale des Associations Familiales) et co-présidente du CIEM (Collectif Interassociatif Enfance et Médias), Evald Maillet, enseignant chercheur à l'IUFM de Clermont-Ferrand, Isabelle Lorenzo, enseignante détachée en renfort sur le Réseau Réussite Scolaire du 1er arrondissement de Lyon et Muriel Florin, journaliste au Progrès de Lyon, en tant qu'invitée de venue d'ailleurs.   Un programme édité par CAP CANAL.
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Affiche du document La tête dans les étoiles

La tête dans les étoiles Cap Infos primaires : Sciences et techniques

De Arnaud Bitschy

1h00min01

  • Ateliers de création numérique
L'astronomie, science étudiant les corps célestes, est considérée comme une des sciences les plus anciennes de l'humanité. Vu les préoccupations métaphysiques évidentes auxquelles nous renvoie cette discipline, l'astronomie se révèle intéressante pour petits et grands… Nous suivons dans ce documentaire trois initiatives mises en place par différentes écoles primaires autour du thème de l'astronomie qui nous expliquent comment elle peut servir de base à des travaux disciplinaires variés et transversaux. Depuis le début de l'année scolaire, deux enseignantes à l'école maternelle "Les Dauphins" (Crémieu) préparent leurs élèves en classe de grande section à une sortie au Planétarium de Vaulx-en-Velin. À l'aide de travaux de lecture ou encore de sciences, elles ont cherché à amener chez les enfants quelques notions essentielles comme l'espace ou les planètes. Le but de la visite est de permettre aux enfants de se représenter, concrètement et dans l'espace, des notions qu'ils ont abordées durant toute l'année.   Ce film est encadré par deux débats animés par Philippe Meirieu sur le thème : L'enfant dans l'univers.    La voûte céleste passionne les hommes depuis les temps les plus anciens. Elle représente pour nous l'immensité, le mystère, l'inconnu. À l'école primaire, l'enfant apprend à se situer dans le monde et, par extension, à se situer dans l'univers… En quoi l'astronomie peut permettre de travailler sur cette question ? L'astronomie existe-t-elle encore dans les programmes scolaires ? Qu'apprend-on par son étude ? Vers quelles connaissances dans d'autres disciplines peut-elle mener ?   Pour débattre autour de ces questions, Philippe Meirieu accueille Isabelle Vauglin, astronome au Centre de Recherche Astronomique de Lyon et responsable du service de diffusion des connaissances, Georges Paturel, astronome émérite à l'Observatoire National de Lyon et président du Comité de liaison enseignants-astronomes, Dominique Gillet, inspectrice de l'Education Nationale et Jean-Louis Musy, libraire à la "Librairie Expérience", en tant qu'invité venu d'ailleurs.   Un programme édité par CAP CANAL.
1 crédit
Affiche du document Êtes-vous en règle de trois ?

Êtes-vous en règle de trois ?

De Fanny Clément

1h00min01

  • Ateliers de création numérique
Elle avait depuis longtemps disparu des manuels et voici que, telle une formule magique échappée du "bon vieux temps", la règle de trois fait son retour dans les programmes de l'école primaire, au niveau CM1 et CM2. Nos parents et grands-parents s'en souviennent encore avec émotion et pourtant certains d'entre eux sont aujourd'hui bien incapables de s'en servir. Or, derrère cette fameuse et populaire règle de trois, c'est un pan essentiel de l'enseignement des mathématiques qui est en jeu : celui de la proportionnalité, présente dans un bon nombre de problèmes de la vie courante comme les échanges de monnaie, les recettes de cuisine, les prix, les pourcentages, les échelles, les agrandissements... Jusqu'alors, comment la proportionnalité était abordée à l'école élémentaire ? Pourquoi la règle de trois avait-elle justement été abandonnée au profit d'autres méthodes ? Sa réintroduction va-t-elle révolutionner l'enseignement de la proportionnalité?Comment les enseignants vont-ils réagir et s'adapter aux nouvelles instructions officielles Pour répondre à ces questions, ce documentaire donne la parole à Roland Charnay, ancien formateur et auteur de manuels de mathématiques pour le primaire, qui, avant tout, revient sur l'histoire de l'enseignement de la proportionnalité et montre comment ce dernier a évolué avec les transformations de l'école et de la société.Ce programme est encadré par une émission animée par Philippe Meirieu, et conscrée au thème : "Apprendre les mathématiques à l'école primaire".Pour certains, l'enseignement des mathématiques fait partie des mauvais souvenirs d'école, pour d'autres, elles ont été très vite une forme d'activités ludiques;Quels sont les enjeux de l'apprentissage des mathématiques en primaire ? Pourquoi cette discipline inquiète-t-elle tant ? Les mathématiques, est-ce une discipline "utilitaire" ? Comment susciter le désir de faire des mathématiques ? Les mathématiques ne sont-elles pas aussi un outil pour éduquer à la citoyenneté ?Pour débattre autour de ces questions, Philippe Meirieu accueille :Denis Guedj, mathématicien et écrivain de nombreux ouvrages mettant en scène les mathématiques,Thierry Dias, formateur et chercheur en didactique des mathématiques,Sylvie Maternn, enseignante stagiaire en formation,et Carla Frison, danseuse et chorégraphe en tant qu'invitée venu d'ailleurs. Un programme édité par CAP CANAL
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Affiche du document Joueurs

Joueurs Les jeux vidéo, pourquoi çà marche?

Anne Guicherd

1h00min01

  • Ateliers de création numérique
En France, on dénombre 14 millions d'adeptes de jeux vidéo. La pratique se banalise aujourd'hui par le biais de consoles et de jeux destinés à toute la famille. Bien que la moyenne d'âge du joueur soit de 31 ans, les parents restent vigilants, inquiets parfois. À moins qu'ils ne soient eux-mêmes joueurs, à moins qu'il n'y ait dans le fond pas de raison de s'inquiéter outre mesure ? On a longtemps accablé des pires maux les jeux vidéos, mais, au-delà des questions de mauvaise influence qu'ils supposent, comment peut-on expliquer leur succès ? Au cours de ce documentaire, nous donnons la parole à des joueurs qui nous expliquent quels jeux ils aiment, comment ils y jouent et pourquoi. Nous suivons ainsi particulièrement deux familles dans lesquelles des enfants âgés de 5 à 14 ans sont adeptes des consoles portables ou autre jeux d'ordinateur. Deux jeunes adultes, Khanh et Jérôme, nous donnent également leur point de vue tout en expliquant comment les concepteurs et éditeurs de jeux cherchent sans cesse de nouvelles innovations. Par leur intermédiaire nous découvrons les tout derniers jeux et les toutes dernières consoles à la mode qui fascinent tant nos enfants… Ce programme est encadré par une émission animée par Aude Spilmont, consacrée au théme : Jeux vidéos : pourquoi ça marche ? Les jeux vidéos, culture jeune par excellence, sont le plus souvent méconnus des parents dépassés par cet univers qui leur échappe. À la fois dans les manières de jouer mais aussi par le contenu même et les idéologies véhiculées à l'intérieur de ces jeux, ils peuvent en effet susciter l'inquiétude. Pourquoi les jeux vidéos rencontrent-ils un tel succès auprès des jeunes générations ? Y a-t-il de "bons" et de "mauvais" jeux vidéos ? Comment permettre à son enfant de prendre du recul par rapport au contenu des jeux vidéos ? Pour débattre autour de ces questions et accompagner le documentaire, Aude Spilmont reçoit Tony Fortin responsable du site planetjeux.net, Fanny Lignon maître de conférences Cinéma et Audiovisuel à l'IUFM de Lyon (Université Claude Bernard Lyon). et Dominique Machado, mère de deux garçons de 12 et 14 ans, apportera son témoignage et dialoguera avec nos invités.    
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Affiche du document Hiboux, choux, cailloux... l'élève à la découverte du vivant

Hiboux, choux, cailloux... l'élève à la découverte du vivant

De Sara Millot

1h00min01

  • Ateliers de création numérique
L'approche du vivant en classe s'étend à de multiples domaines, de la maternelle au CM2, englobant des dimensions aussi larges et diverses que le monde végétal, animal ou encore le corps humain. Construit autour de deux aspects du vivant, le végétal et l'animal, ce documentaire suit de manière précise les méthodes, les références et les pratiques expérimentées en classe à travers deux projets menés dans des écoles primaires. Le premier projet associe tous les élèves de l'école de Cotouvre, située dans la Loire, autour de la conception d'une fresque sur le monde marin. Ce projet, dont la finalité est artistique, oriente néanmoins tout au long de l'année les apprentissages scolaires, donnant l'occasion aux élèves de découvrir l'univers aquatique. Nous suivons les élèves lors d'une visite à l'Aquarium du Grand Lyon puis à leur retour en classe où un travail autour du texte et de l'image accompagne en parallèle la création et la conception d'un aquarium domestique, qui trouvera place au sein de l'école.   Le second projet est mené au sein de l'école de Chapoly, un établissement privé sous contrat situé à Tassin La Demi Lune, dont les pratiques s'inspirent de différents courants d'éducation nouvelle. Une des spécificités de cette école réside dans son espace extérieur, largement consacré à la culture d'un jardin pédagogique et à l'expérimentation des élèves. Un lieu devenu aussi depuis quelques années le lieu de résidence d'Amande, un lapin domestique… Le vivant dans la classe Ce film est encadré par une émission présentée par Philippe Meirieu, sur le thème : Le vivant dans la classe. En découvrant les animaux et végétaux dans le monde qui l'entoure, l'enfant fait l'apprentissage de ce qu'est le vivant au fur et à mesure de son développement. Cet apprentissage se fait également à l'école où l'on apporte à l'élève des éléments scientifiques, mais aussi symboliques pour l'aider à appréhender cette notion. Pourquoi introduire cette approche à l'école primaire ? Quelles pistes pédagogiques peut-on tracer autour de la curiosité naturelle des enfants envers le vivant ?   Pour débattre autour de ces questions, Philippe Meirieu accueille Michèle Dell'Angelo, professeur de Sciences et Vie de la Terre, formatrice à l'IUFM de Créteil et chercheur à l'INRP, Elvire Lorchel, exploitante agricole de la ferme pédagogique du Crouloup, Florence Landry, professeur des écoles en formation et Pascale Ceselli, responsable pédagogique du Jardin Zoologique de Lyon au Parc de la Tête d'Or, en tant qu'invitée venue d'ailleurs.   Un programme édité par CAP CANAL    
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Affiche du document Que le meilleur gagne !

Que le meilleur gagne !

Aude Spilmont

1h00min01

  • Ateliers de création numérique
Que le meilleure gagne. Cet adage populaire en dit en réalité beaucoup plus sur les rapports humains et sociaux qui nous régissent que l'invitation au jeu qu'il suppose. L'esprit de compétition, qu'on le déplore ou non, détermine en partie nos modes de vie et nos trajectoires personnelles. Il est particulièrement prégnant à l'école, où la note définit la compétence, et dans le monde sportif où, quelle que soit l'activité, il s'agit de gagner. Chez les enfants, cette aptitude apparaît autour de l'âge de huit ans et se manifeste par exemple par un intérêt pour les jeux de société mettant en concurrence les joueurs. Quel rôle jouent les adultes dans cet apprentissage ? Leurs enfants s'engagent-ils pour leurs parents ou par exigence personnelle ? Comment les enfants ou adolescents vivent-ils l'échec ? Nous découvrons tout d'abord, dans ce documentaire, la jeune Léopoldine âgéede 9 ans, considérée comme l'artiste de la famille, par rapport à son grand frère Romain qui est davantage le "compétiteur", inscrit en faculté de médecine et soumis de manière prégnante à la concurrence. Du soutien scolaire au cours de tennis amateur, elle nous livre ses réflexions sur le désir de performance et sur sa manière d'appréhender l'esprit de compétition. Nous suivons également le parcours d'Aleksandar, lycéen de 17 ans, inscrit dans une filière générale mais bénéficiant d'un aménagement des horaires pour poursuivre ses entraînements de judo de haut niveau.  Ce film est encadré par une émission présentée par Aude Spilmont, sur le thème : C'est moi le meilleur ! L'important est-il de gagner ou de participer ? La société dans laquelle nous vivons aujourd'hui peut nous amener à douter de la réponse sage qui nous vient à tous à l'esprit. L'esprit de compétition est-il un moteur ou un frein pour les enfants ? A-t-on besoin de se comparer aux autres ? Comment préparer les enfants à vivre leur vie d'adulte et à quel prix ? Comment surmonter l'échec ?  Pour débattre autour de ces questions et accompagner le documentaire, Aude Spilmont reçoit Marc Zimmermann pédopsychiatre, Thierry Lechenault, de l'association "Sport dans la ville" qui a pour but de favoriser l'insertion sociale et professionnelle par le biais du sport et Isabel Malsch, mère d'adolescents de 16 à 23 ans témoigneront de leur quotidien et dialogueront avec notre invité.   Un programe édité par CAP CANAL
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Affiche du document Au coeur de la Cité

Au coeur de la Cité

De Anne Guicherd

1h00min01

  • Ateliers de création numérique
Lyon, classée au patrimoine mondial de l'humanité, s'est dotée d'un dispositif destiné aux jeunes élèves de la ville. Le projet "Le patrimoine et moi", mis en place par la Ville et l'Education Nationale il y a maintenant trois ans, permet aux enfants de découvrir le quartier autour de l'école et plus largement la ville, à travers l'architecture, le commerce, la grande ou la petite histoire. Des lieux de mémoire, musées ou lieux d'archives, sont partenaires du projet et des intervenants spécialisés encadrent des ateliers plastiques, culinaires ou botaniques. Au cours de ces trois années, un réseau de professionnels et d'institutions s'est donc créé autour de ce programme. Ce documentaire suit le travail de deux écoles primaires travaillant autour de ce thème et toutes deux en Réseau d'Education Prioritaire.   Le film est entouré de deux séquences animées par Philippe Meyrieu, autour du thème :   Mon patrimoine et moi.   La ville, lieu de concrétisation du savoir des hommes, est un lieu complexe se trouvant à l'intersection de l'espace et du temps. Pour l'élève, il s'agit à la fois de se situer dans le monde extérieur qui l'entoure, mais aussi de se situer dans l'Histoire des Hommes, face aux traces qu'ils ont laissées. Ces deux dimensions sont donc au cœur de l'éducation au patrimoine. Pourquoi la découverte du patrimoine est-elle si importante pour les enfants ? Quels enjeux se tissent entre patrimoine et éducation à la citoyenneté ? Quelles sont les articulations possibles avec les programmes de l'école primaire?   Pour débattre autour de ces questions, Philippe Meirieu accueille Francine Best, ex-directrice de l'INRP, Simone Blazy, directrice du Musée Gadagne, Gilles Boyer, professeur d'histoire et formateur à l'IUFM de l'Académie de Lyon, et Jean-Luc Chavent, "conteur de rue" en tant qu'invité venu d'ailleurs. Un programme édité par CAP CANAL.
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Affiche du document Attention, fragiles !

Attention, fragiles !

Laurence Scarbonchi

1h00min01

  • Ateliers de création numérique
Laetitia et Nicolas ont 15 ans et ils sont amoureux. Elle l'a rencontré lorsqu'elle est revenue en France après dix ans passés à vivre en Guyane avec sa famille. Elle s'est retrouvée dans un nouveau collège, en classe de 4ème, dans un cours où elle s'est assise à côté de lui. Jusque-là Nicolas se sentait plutôt solitaire au milieu de ses camarades, il raconte même que, depuis son entrée en 6ème, il se faisait souvent humilier, voire même frapper par les autres.Laetitia, quant à elle, peine à s'intégrer lors de son arrivée. Ses camarades se moquent également d'elle, la considèrent bizarrement puisqu'elle vient d'ailleurs. Ils ont, tous deux, songé à en finir, à abandonner cette vie qui n'en vaut pas la peine. D'ailleurs si leur amour n'existait pas, ils ne seraient peut-être plus là pour raconter ce qu'ils vivent et à travers quoi ils sont passés.Longtemps confondue avec problèmes de maturité ou développement, voire avec des "crises d'adolescence", la dépression existe aussi chez les jeunes.Les professionnels de la santé reconnaissent aujourd'hui qu'il existe chez les enfants (dès le nourrisson) des comportements et des symptômes semblables à ceux qui se manifestent chez des adultes en dépression. En France, comme dans la plupart des pays occidentaux, le suicide est la deuxième cause de décès chez les jeunes derrière les accidents de la route. Nous suivons dans ce film l'histoire d'amour de ces deux adolescents, en mal-être chacun de leur côté, mais qui ont su se trouver pour affronter leurs difficultés et demander de l'aide à des adultes, parents et professionnels de santé.Leur amour leur permet d'évacuer les idées morbides qui traversent leurs esprits, mais aussi d'essayer de retourner un peu vers les autres. Leur arrivée au lycée les a ainsi beaucoup aidé à aller dans ce sens, mais ils ont encore et toujours besoin l'un de l'autre pour se soutenir. Ce film est encadré par une émission animée par Aude Spilmont, sur le théme : Adolescents, des idées noires au suicide... Le suicide représente la deuxième cause de décès chez les 15-24 ans, après les accidents de la route, en France et dans les pays occidentaux. La dépression touche 7% des adolescents.Comment percevoir le mal-être d'un adolescent ? La dépression de l'enfant est-elle suffisamment reconnue et identifiée ?Quels sont les signaux d'alerte pour les parents ?    Pour débattre autour de ces questions et accompagner le documentaire, Aude Spilmont reçoit Denis Bochereau pédopsychiatre et co-auteur de l'ouvrage "La souffrance des adolescents" avec le Pr Philippe Jeamet, Sylvie Rodé coordinatrice de l'association Cap Écoute, service d'écoute téléphonique anonyme et gratuite pour les jeunes, et Brigitte Hyvert mère de famille et membre de l'association "Jonathan pierres vivantes" témoigneront de leur quotidien et dialogueront avec notre invité. Un programme édité par CAP CANAL    
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