Documents pour «Tradition»

L'Archipel oublié
De Herlé Jouon
24min20
A l’extrême ouest de l’Irlande, les îles Blasket ont une histoire peu commune.
Haut lieu du parlé gaélique, elles furent définitivement évacuées de toute population en 1953.
Pourtant, quand l’été s’achève c’est le signal pour Donnacha, Paddy et leurs amis d’y retourner capturer les moutons.

Au Pays des Dhows
Serge MONTAGNAN
21min06
Ce documentaire vous emmène vers une destination exotique sur les côtes de l’Afrique de l’est au large de la Tanzanie.
A l’extrême nord de Zanzibar, bien loin de l’agitation du port de Stone Town la capitale, Nugwe petit village de pêcheurs, respire au rythme d’autrefois. Ici, la construction des boutres, les techniques de pêche, la vie au quotidien, tout reste fortement attaché à la tradition.
A l’extrême nord de Zanzibar, bien loin de l’agitation du port de Stone Town la capitale, Nugwe petit village de pêcheurs, respire au rythme d’autrefois. Ici, la construction des boutres, les techniques de pêche, la vie au quotidien, tout reste fortement attaché à la tradition.

Antogo
De Gilles Ragris
26min20
Un désert, une mare, un millier de pêcheurs...
Au Mali, le Pays Dogon est le théâtre d'une cérémonie mystérieuse et spectaculaire dont seuls les anciens peuvent expliquer l’origine.
La cérémonie a pour cadre la mare communautaire d’Antogo. Selon un rituel immuable, un millier d'hommes se rassemble autour de la mare. Il fait 48°C à l'ombre. Après de mystérieuses incantations, une vague humaine envahit la mare et pêche à l'aide de paniers.
Pour beaucoup de participants ce sera l’aboutissement d’un long voyage, l’unique occasion de renouer avec sa culture, sa famille.
Symbole d’un style de vie traditionnel en voie de disparition, Antogo permet d’entretenir un réseau de relations et d’amis et de maintenir la solidarité entre tous.

SFAP 2011 – Traditions et rites funéraires pour un patient d’origine africaine. QUESTIONS.
P. FAYEMI
15min04
Titre : SFAP 2011 – Traditions et rites funéraires pour accompagner un patient d’origine africaine. QUESTIONS.
Auteur(s) : P. FAYEMI. (Médecin – Dourdan – France).
Etablissement : Centre Hospitalier de Dourdan, France
Résumé : Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ? Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ?
Nous proposons d’introduire notre propos par un film de trois minutes illustrant certains rites funéraires en France et en Afrique. Ensuite, nous appuyant sur des situations cliniques, nous évoquerons deux aspects essentiels pour accompagner ces patients africains : d’une part le culte de la mort, d’autre part les multiples rites et traditions funéraires. Une seule Afrique pour son culte de la mort
Les africains sont très attachés à la vénération de leurs défunts mais ne parle jamais de la mort même lorsque son ombre portée s’approche.
Auprès d’un patient gravement atteint, mourant, chacun parle de la maladie mais jamais de ses conséquences létales éventuelles même si celles-ci sont évidentes. C’est une interdiction commune à tous les africains : certains mots sont imprononçables.
A contrario, au décès du patient, chacun est très affecté et parle du mort. Sa prise en charge est communautaire et tout le monde en parle.
En Afrique, la maladie et la mort ne sont pas naturelles : elles sont la conséquence d’un péché, d’un mauvais sort, d’un mauvais œil…
Une Afrique plurielle pour ses traditions et rites funéraires
Mélangées à l’animisme, la plupart des religions ont pris corps en Afrique et se mélangent entre elles ; associées de surcroît aux traditions communautaires, claniques et ethniques. Comment s’y retrouver dans une telle diversité ? Comment ne pas commettre des maladresses lors d’accompagnements ? Comment faire pour identifier le référent qui nous permettra de trouver la juste mesure ?
L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.
Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversités
Du 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier F6– Deuil et rites funéraires.
Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.
Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES
Auteur(s) : P. FAYEMI. (Médecin – Dourdan – France).
Etablissement : Centre Hospitalier de Dourdan, France
Résumé : Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ? Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ?
Nous proposons d’introduire notre propos par un film de trois minutes illustrant certains rites funéraires en France et en Afrique. Ensuite, nous appuyant sur des situations cliniques, nous évoquerons deux aspects essentiels pour accompagner ces patients africains : d’une part le culte de la mort, d’autre part les multiples rites et traditions funéraires. Une seule Afrique pour son culte de la mort
Les africains sont très attachés à la vénération de leurs défunts mais ne parle jamais de la mort même lorsque son ombre portée s’approche.
Auprès d’un patient gravement atteint, mourant, chacun parle de la maladie mais jamais de ses conséquences létales éventuelles même si celles-ci sont évidentes. C’est une interdiction commune à tous les africains : certains mots sont imprononçables.
A contrario, au décès du patient, chacun est très affecté et parle du mort. Sa prise en charge est communautaire et tout le monde en parle.
En Afrique, la maladie et la mort ne sont pas naturelles : elles sont la conséquence d’un péché, d’un mauvais sort, d’un mauvais œil…
Une Afrique plurielle pour ses traditions et rites funéraires
Mélangées à l’animisme, la plupart des religions ont pris corps en Afrique et se mélangent entre elles ; associées de surcroît aux traditions communautaires, claniques et ethniques. Comment s’y retrouver dans une telle diversité ? Comment ne pas commettre des maladresses lors d’accompagnements ? Comment faire pour identifier le référent qui nous permettra de trouver la juste mesure ?
L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.
Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversités
Du 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier F6– Deuil et rites funéraires.
Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.
Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES

SFAP 2011 – Traditions et rites funéraires pour accompagner un patient d’origine africaine.
P. FAYEMI
21min16
Titre : SFAP 2011 – Traditions et rites funéraires pour accompagner un patient d’origine africaine.
Auteur(s) : P. FAYEMI. (Médecin – Dourdan – France).
Etablissement : Centre Hospitalier de Dourdan, France
Résumé : Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ? Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ?
Nous proposons d’introduire notre propos par un film de trois minutes illustrant certains rites funéraires en France et en Afrique. Ensuite, nous appuyant sur des situations cliniques, nous évoquerons deux aspects essentiels pour accompagner ces patients africains : d’une part le culte de la mort, d’autre part les multiples rites et traditions funéraires. Une seule Afrique pour son culte de la mort
Les africains sont très attachés à la vénération de leurs défunts mais ne parle jamais de la mort même lorsque son ombre portée s’approche.
Auprès d’un patient gravement atteint, mourant, chacun parle de la maladie mais jamais de ses conséquences létales éventuelles même si celles-ci sont évidentes. C’est une interdiction commune à tous les africains : certains mots sont imprononçables.
A contrario, au décès du patient, chacun est très affecté et parle du mort. Sa prise en charge est communautaire et tout le monde en parle.
En Afrique, la maladie et la mort ne sont pas naturelles : elles sont la conséquence d’un péché, d’un mauvais sort, d’un mauvais œil…
Une Afrique plurielle pour ses traditions et rites funéraires
Mélangées à l’animisme, la plupart des religions ont pris corps en Afrique et se mélangent entre elles ; associées de surcroît aux traditions communautaires, claniques et ethniques. Comment s’y retrouver dans une telle diversité ? Comment ne pas commettre des maladresses lors d’accompagnements ? Comment faire pour identifier le référent qui nous permettra de trouver la juste mesure ?
L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.
Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversités
Du 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier F6– Deuil et rites funéraires.
Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.
Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES
Auteur(s) : P. FAYEMI. (Médecin – Dourdan – France).
Etablissement : Centre Hospitalier de Dourdan, France
Résumé : Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ? Personne n’échappe à sa culture. Lors de la prise en charge et l’accompagnement de nos patients d’origine africaine, comment nous adapter à leur culture ?
Nous proposons d’introduire notre propos par un film de trois minutes illustrant certains rites funéraires en France et en Afrique. Ensuite, nous appuyant sur des situations cliniques, nous évoquerons deux aspects essentiels pour accompagner ces patients africains : d’une part le culte de la mort, d’autre part les multiples rites et traditions funéraires. Une seule Afrique pour son culte de la mort
Les africains sont très attachés à la vénération de leurs défunts mais ne parle jamais de la mort même lorsque son ombre portée s’approche.
Auprès d’un patient gravement atteint, mourant, chacun parle de la maladie mais jamais de ses conséquences létales éventuelles même si celles-ci sont évidentes. C’est une interdiction commune à tous les africains : certains mots sont imprononçables.
A contrario, au décès du patient, chacun est très affecté et parle du mort. Sa prise en charge est communautaire et tout le monde en parle.
En Afrique, la maladie et la mort ne sont pas naturelles : elles sont la conséquence d’un péché, d’un mauvais sort, d’un mauvais œil…
Une Afrique plurielle pour ses traditions et rites funéraires
Mélangées à l’animisme, la plupart des religions ont pris corps en Afrique et se mélangent entre elles ; associées de surcroît aux traditions communautaires, claniques et ethniques. Comment s’y retrouver dans une telle diversité ? Comment ne pas commettre des maladresses lors d’accompagnements ? Comment faire pour identifier le référent qui nous permettra de trouver la juste mesure ?
L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.
Conférence enregistrée lors du 1er Congrès international francophone de soins palliatifs et d’accompagnement & 17ème Congrès de la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs (SFAP). A la rencontre de nos diversités
Du 28 au 30 juin 2011 au Centre Cité de Congrès de Lyon. Atelier F6– Deuil et rites funéraires.
Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF.
Réalisation, production : Canal U/3S et CERIMES

Réduction de la mortalité maternelle - Dakar 2010 : l’Education Pour la Santé vue d’en bas.
Elhadji Dagobi ABDOUA
21min27
Titre : l’Education Pour la Santé vue d’en bas.
Résumé : Bien que l’analyse des problèmes institutionnels soit essentielle pour comprendre la faible performance de l’EPS, l’auteur aborde surtout la question des rapports entre le dispositif technique et les populations locales. De quelle manière ces populations réagissent-elles aux messages de l’EPS et pourquoi ?
Présentation d’une typologie générale des attitudes observées et examen des déterminants socio-économiques des conduites sanitaires des populations en insistant sur le cas du Niger.
Conférence enregistrée dans le cadre du Colloque International Interdisciplinaire : Droit et Santé en Afrique. Réduction de la mortalité maternelle en Afrique Sub-saharienne, mieux comprendre pour mieux agir.
5ème session : vouloir et pouvoir : dimensions socio-politiques de l’action. Développement, développeurs et développés.
Auteur : ABDOUA Elhadji Dagobi
Organisé avec le partenariat de l’UMVF et le FSP mère-enfant du Ministère des Affaires Etrangères.
SCD Médecine.
Résumé : Bien que l’analyse des problèmes institutionnels soit essentielle pour comprendre la faible performance de l’EPS, l’auteur aborde surtout la question des rapports entre le dispositif technique et les populations locales. De quelle manière ces populations réagissent-elles aux messages de l’EPS et pourquoi ?
Présentation d’une typologie générale des attitudes observées et examen des déterminants socio-économiques des conduites sanitaires des populations en insistant sur le cas du Niger.
Conférence enregistrée dans le cadre du Colloque International Interdisciplinaire : Droit et Santé en Afrique. Réduction de la mortalité maternelle en Afrique Sub-saharienne, mieux comprendre pour mieux agir.
5ème session : vouloir et pouvoir : dimensions socio-politiques de l’action. Développement, développeurs et développés.
Auteur : ABDOUA Elhadji Dagobi
Organisé avec le partenariat de l’UMVF et le FSP mère-enfant du Ministère des Affaires Etrangères.
SCD Médecine.

Schnaps theater
Luc MEICHLER
53min18
En compagnie de Jean-Michel Clavey, acteur et metteur en scène du Théâtre Alsacien de Guebwiller, travailleur frontalier à Bâle, nous traversons les coulisses d’une certaine qualité de vie dans le Haut-Rhin.
Les bouilleurs de cru constituent une espèce en voie de disparition. Le théâtre alsacien subit le recul du dialecte. Mais leurs pratiques font encore bel et bien partie de la réalité villageoise de l’Alsace d’aujourd’hui.
De distillation en répétition théâtrale, nous approchons ses paradoxes, son histoire, sa culture populaire, son petit théâtre quotidien…

Le prophète en son pays
Gisèle MEICHLER
57min53
Trois jours en Alsace avec René-Nicolas Ehni, écrivain et dramaturge, s’apprêtant à quitter sa région natale. La gloire du vaurien, son premier roman, le fit vivre à Paris. Après son retour en Alsace, ses pérégrinations balkaniques le menèrent en Grèce. Optant pour Byzance, il se convertit à l’orthodoxie et décide de vivre en Crète.
Trois jours à la découverte de ce personnage et des thèmes qui lui tiennent à cœur, à la fois écrits, pensés, sentis et perçus.

Madagascar, carnet de voyage
De Bastien Dubois
11min08
La Famadihana, coutume malgache qui signifie retournement des morts donne lieu à d'importantes festivités, à des danses et des sacrifices de zébus, mais démontre surtout l'importance du culte des anciens dans la société malgache.
L'histoire est racontée en carnet de voyage, retraçant le parcours d'un voyageur occidental confronté à ces différentes coutumes.
Les pages du carnet se tournent, puis les dessins s'animent, nous parcourons les paysages luxuriants de Madagascar avant d'être initié à la culture malgache.

Les enfants d'abord - Inde
De Frédéric Compain
51min45
Le documentaire présenté à l'occasion de la Journée de l'enfance reprend un titre de l'Unicef Les Enfants d'abord. L'exemple du sous-continent indien est représentatif de la situation des enfants dans les pays du Sud et de la « préférence pour le fils » qui est instauré.
Cette préférence, propre à de nombreuses cultures, est très affirmée dans l'Asie du sud et de l'ouest, quelles que soient la religion ou la classe sociale. Un proverbe indien, cité dans le commentaire, résume bien cette injustice : élever une fille, « c'est arroser le jardin du voisin ».
Les discriminations à l'égard des filles constituent le fil rouge du documentaire. Les « statistiques de la honte », ratio des sexes, avortements sélectifs, taux d'analphabétisme et sous-scolarisation des filles dressent un tableau alarmant, mais variable selon les États.
Ainsi, la discrimination, très forte dans l'Uttar Pradesh au nord, est-elle atténuée au sud, dans le petit État du Kerala.

Lumière silencieuse Stellet Licht
De Carlos Reygadas
2h10min38
Johan et les siens sont des mennonites du nord du Mexique.
En contradiction avec la loi de Dieu et des hommes, Johan, marié et père de famille, tombe amoureux d'une autre femme.

Les 4 saisons d'Espigoule
De Christian Philibert
1h32min55
A travers la vie des habitants du petit village d'Espigoule (nom imaginaire), perché sur les collines du Haut-Var, hommage à la Provence, à ses traditions et surtout au parler provencal...